Les malades d’anorexies sont de plus en plus nombreux. C’est une maladie psychologique qui empêche le patient de manger correctement.
Présentation de la maladie
L’anorexie mentale atteint actuellement près de 0,5% de la population. Les plus touchées sont les filles à l’âge de l’adolescence. C’est une maladie grave et mortelle. Les victimes sont parfois poussées au suicide ou la nutrition non-équilibrée les tue. On a toujours perçue cette maladie comme une phobie. En effet, les malades d’anorexies ont été considérés comme des personnes qui ont peur de grossir. Pourtant, certaines études démontrent que c’est une addiction. Les patients aiment juste le fait d’être maigre. On peut voir trois manifestations de la maladie. D’abord, le malade perd du poids dû à sa malnutrition. Ensuite, il n’a pas conscience de la forme et l’aspect de son corps. Enfin, il évite à tout prix de grossir. Le traitement psychologique de l’anorexie ne devrait donc plus se classer dans les traitements de phobie, mais dans le réapprentissage du plaisir à manger.
Des études accomplies
Certaines études ont été faites pour voir exactement le principe de l’anorexie mentale. Premièrement, l’évaluation de l’émotion à l’aide de la transpiration. On leur montre les images de trois personnes : l’une maigre, l’autre à poids normal et l’autre en surpoids. Seule la photographie de personne maigre crée une émotion positive auprès des patients. Vu par IRM, il a eu le même résultat. On peut donc en conclure qu’ils aiment la maigreur. Une autre étude plus approfondie a été faite. La ghréline est l’hormone responsable de notre désir d’alimentation. Chez les anorexiques, elle est liée à la dopamine qui gère le plaisir. De ce fait, sa quantité dans le striatum augmente. Or cette région cérébrale intervient dans les addictions. On a donc pu en conclure que l’anorexie mentale n’est pas une maladie phobique. C’est une maladie liée à l’addiction de plaisir à être maigre.