Les hormones de stress, l’adrénaline et la noradrénaline, sont également appelées hormones de combat ou de fuite et préparent le corps à l’action face à une menace physique ou émotionnelle. L’adrénaline est responsable de l’augmentation du pouls, d’une respiration rapide et d’un cœur battant. La noradrénaline prépare le corps à entreprendre l’un des choix de «combat ou fuite» en «réchauffant» les deux organes préférés du corps humain, à savoir le cerveau et le cœur.
Dans le cerveau, la noradrénaline augmente la vigilance, favorise la vigilance et concentre l’attention. Dans le cœur, il augmente la pression artérielle et le pouls. Dans le reste du corps, il déclenche la libération de glucose des réserves d’énergie et augmente le flux sanguin vers les muscles.
Une menace physiologique
Bien que ces hormones de stress, l’adrénaline et la noradrénaline (responsables de la réponse physique que vous ressentez) valent leur pesant d’or lorsqu’elles sont libérées face à une menace physique, elles sont préjudiciables au corps, elles sont libérées inutilement lorsque le corps n’est pas en danger physique. C’est ce qui se passe pendant les périodes de menace physiologique.
Ci-dessous une vidéo relatant ces faits :
https://www.youtube.com/watch?v=zFfw7Bvt7ZM
La menace physiologique se réfère à la maladie et cela pourrait être dû à un dysfonctionnement de n’importe quel organe du corps. Ici, la noradrénaline détourne le sang de ce qu’elle perçoit comme des organes «non vitaux» comme les reins, les poumons, le foie, la vessie et l’intestin. Cela draine les nutriments essentiels de ces organes, ce qui les met en danger d’arrêt.
L’impact de la noradrénaline sur les reins
La noradrénaline est très étroitement liée aux reins. Le mot même «noradrénaline» en grec signifie à côté des reins.
Jusqu’à récemment, il y avait beaucoup de controverse dans le domaine médical concernant l’impact de la noradrénaline sur les reins. De nombreux experts médicaux n’ont pas pu décider que la noradrénaline était un ami ou un ennemi des reins.