Lors d’un rapport intime entre l’homme et la femme, l’atteinte de l’orgasme est principalement le but final. Si pour l’homme il s’agit d’une étape dont l’origine était déjà pratiquement élucidée, celui de la femme reste toujours un réel mystère. Avec les différentes recherches effectuées par les professionnels dans ce domaine, quelques avancées ont quand même pu être réalisées. Zoom sur les théories et sur l’importance de l’orgasme féminin.
Les premières théories sur l’historique de l’orgasme féminin
Au tout début des recherches sur l’origine de l’orgasme féminin, les premières théories se sont tournées sur un rôle dans la production. A l’instar de l’orgasme masculin qui entraîne l’éjaculation et donc la délivrance des spermatozoïdes, l’orgasme de la femme aurait pour but de pousser à la fécondation de l’ovocyte. Etant donné le manque de fiabilité par rapport à ces recherches, les chercheurs se sont tournés vers d’autres théories. L’une d’entre elle est que l’orgasme de la femme serait une pure extension de celui de l’homme. Il s’agirait dans ce cas-là, une étape sans but précis, mais qui se retrouvait possible comme pour l’existence de l’orgasme pour l’homme. C’est seulement un peu plus tard que vient l’idée que l’orgasme aurait pu être l’initiateur de l’ovulation. Il s’agissait alors d’une étape normale pour tout mammifère à une certaine époque avant que la femme n’en ait plus besoin pour déclencher l’ovulation.
Les derniers résultats des différentes recherches
Selon les recherches menées par une étude récente, il semblerait que l’existence de deux types d’ovulation était la preuve de cette théorie. Avec l’ovulation spontanée qui est celle qui caractérise la femme, il y a également l’ovulation induite qui est plutôt celle des mammifères nécessitant un rapport intime pour favoriser l’ovulation. Dans ces deux contextes, la place du clitoris joue un rôle plus ou moins important. Avec la femme ainsi que les autres mammifères ayant évolués, ce dernier se trouvait finalement un peu éloigné, car il n’est plus nécessaire dans la reproduction tandis qu’il est au centre même pour les mammifères nécessitant une copulation pour féconder.