La détérioration du système immunitaire a été perçue comme une des causes qui provoquent la maladie de Parkinson. Mais les chercheurs ne savaient pas encore comment jusqu’ici. Aujourd’hui, on peut comprendre la dégénérescence des neurones menant à la destruction de ces dernières.

Conséquence de la maladie de Parkinson

La maladie de Parkinson est vue par les analystes comme étant l’une des maladies neurodégénératives qui causent le plus de dégâts en France. Cette maladie rend les muscles très rigides, mais aussi rend le malade tremblant et lent. Par ailleurs, il cause également une mort lente du système neuronal au niveau du striatum. Jusqu’ici, on ne sait toujours pas pourquoi cela se passe ainsi, mais les chercheurs savent qu’une des causes et l’intervention des protéines P1NK1 et parkine. Cependant, l’hypothèse des chercheurs va aussi du côté du système immunitaire étant donné que les sujets à cette maladie en des inflammations au niveau des neurones et qui provoquent des dégâts dans le cœur du cerveau. Cela, parce que si les protéines sus citées n’apportent plus rien dans le cerveau, les cellules immunitaires provoquent des dégâts au niveau des neurones, à travers le mécanisme dénommé, auto-immum.

Le rôle des protéines P1NK1 et parkine

Grâce l’étude de Michel Desjardins et son équipe, ils ont pu comprendre que les antigènes mitochondriaux étaient transportés vers le tissu cellulaire à travers la présence des protéines P1NK1 et parkine. Sans la présence de ces protéines, l’assimilation de ces antigènes ne se fait pas. Ce cas est ainsi, très présent chez les sujets atteints de la maladie de Parkinson étant donné qu’il y a formation excessive d’antigènes mitochondriaux au niveau des neurones. Ces qui provoquent leurs destructions. En outre, il y a un trafic excessif de vésicules de mitochondries provenant d’une réponse du système immunitaire, et que les cellules neuronales n’arrivent pas à suivre.

Partagez maintenant.